
Possibles Probables , LAB(AU)
Possibles Probables , LAB(AU)
Ce catalogue accompagne une exposition née d'une question faussement simple : comment remplir une page blanche jusqu'à ce qu'elle devienne noire ? À chaque tentative, une nouvelle règle est introduite, qu'il s'agisse de la proportionnalité, des séquences de Fibonacci, de l'aléatoire, de la progression linéaire, des processus stochastiques ou d'autres qui défient toute classification. Un lexique émerge peu à peu, cataloguant les manières possibles d'exécuter cette tâche singulière.
Ici, la page blanche est plus qu'une surface. Elle devient sujet, objet et concept. Elle sert de point d'origine, de singularité, pour des réflexions plus larges sur la nature de la création artistique. La nature procédurale de l'œuvre révèle à la fois notre capacité et nos limites à traduire la pensée artistique en systèmes formels et écrits. Ce faisant, elle met en évidence la tension entre l'art et le langage.
L'exposition se déploie sur quatre murs qui reflètent les piliers conceptuels et méthodologiques de la pratique de LAb[au] : peindre, écrire, calculer et transcoder. Elle navigue entre sémiotique et esthétique, sens et forme, se situant dans le continuum des recherches philosophiques du collectif. L'art devient ici une forme d'introspection, un mode de questionnement sur sa propre essence.
Au Botanique, des milliers de pages encadrées construisent une architecture du déjà-là et du pas encore. Ce lexique en expansion constante, fragmentaire et infini, se présente comme une œuvre à but unique et sans fin.
Le Botanique
Texte en français et en anglais
21 cm x 29,5 cm
144 pages
ISBN : 978-2-9602490-6-4
Possibles Probables , LAB(AU)
Possibles Probables , LAB(AU)
Ce catalogue accompagne une exposition née d'une question faussement simple : comment remplir une page blanche jusqu'à ce qu'elle devienne noire ? À chaque tentative, une nouvelle règle est introduite, qu'il s'agisse de la proportionnalité, des séquences de Fibonacci, de l'aléatoire, de la progression linéaire, des processus stochastiques ou d'autres qui défient toute classification. Un lexique émerge peu à peu, cataloguant les manières possibles d'exécuter cette tâche singulière.
Ici, la page blanche est plus qu'une surface. Elle devient sujet, objet et concept. Elle sert de point d'origine, de singularité, pour des réflexions plus larges sur la nature de la création artistique. La nature procédurale de l'œuvre révèle à la fois notre capacité et nos limites à traduire la pensée artistique en systèmes formels et écrits. Ce faisant, elle met en évidence la tension entre l'art et le langage.
L'exposition se déploie sur quatre murs qui reflètent les piliers conceptuels et méthodologiques de la pratique de LAb[au] : peindre, écrire, calculer et transcoder. Elle navigue entre sémiotique et esthétique, sens et forme, se situant dans le continuum des recherches philosophiques du collectif. L'art devient ici une forme d'introspection, un mode de questionnement sur sa propre essence.
Au Botanique, des milliers de pages encadrées construisent une architecture du déjà-là et du pas encore. Ce lexique en expansion constante, fragmentaire et infini, se présente comme une œuvre à but unique et sans fin.
Le Botanique
Texte en français et en anglais
21 cm x 29,5 cm
144 pages
ISBN : 978-2-9602490-6-4